Résumé :
|
Jules Laforgue est moderne parce qu'il fait semblant de ne pas croire à ce qu'il croit, ce qui lui donne ce ton, et cette audience, et cette abnondance aussi de petits-neveux (dont Jean de Tinan, et quelques solides plagiats signés Jean Lorrain), d'arrière-petits-neveux (Roger Vitrac parfois, Max Jacob fortuitement, Jacques Prévert, Raymond Queneau) et d'adultérins de tous les lits... et qui nous le rend proche parce que ce désarroi qu'il a dans le coeur ressemble assez bien à l'amertume que nous avons dans la conscience: Trois petits tours, et puis s'en vont...
|